LA PRISON DE VERRE
Un film de
Daniel Sakheim
Le chaud et le froid
Si la bande-annonce en dit peut être un peu trop long, le plaisir de ce film réside surtout dans l'exploitation des faux-semblants et dans les retournements de sentiments que peut éprouver le spectateur comme l'héroïne, envers ses tuteurs légaux.
Coupables ou non ? Là n'est pas le problème. Ainsi, le réalisateur souffle habilement le chaud et le froid, faisant croire tantôt à la culpabilité du couple, accumulant les indices suspects, et déjouant ensuite les apparences une à une.
Point trop d'effet, une architecture adaptée et glacée, pour une fin un peu poussive malheureusement. Impossible de rester de " glass "…
Olivier BachelardEnvoyer un message au rédacteur