Le cinéma de Maurice Pialat est parcouru par une évidence : ce qui se vit, se dit, s'invente, se défait dans la "vraie" vie résonne, le plus souvent en échos fracassants, un jour ou l'autre, dans les films. Les réalisateurs, Anne-Marie Faux et Jean-Pierre Devilliers sont partis de ces correspondances pour tracer une forme d'auto-portrait, celui d'un cinéaste qui n'oublia jamais ce que fut l'enfance et ne voulut rien céder quant à ce qu'aimer veut dire... Olivier BachelardEnvoyer un message au rédacteur