DEMI-SŒUR
Pleine déception.
Nénette à soixante ans et est quelque peu attardée. Elle a l’attitude mentale d’une personne de huit ans. Elle vit avec sa mère et sa tortue, et mène une vie paisible à faire des ménages. Malheureusement sa mère décède, et il faut alors la mettre dans une maison de retraite qui n’accepte pas les animaux. Elle s’en échappe et décide de retrouver son père. Une surprise l’attente lorsqu’elle fait la connaissance de son demi-frère…
Josiane Balasko veut renouer dans la comédie avec son acolyte du Splendide, Michel Blanc. Mais cette fois-ci le spectateur sera déçu. Son huitième long-métrage ne sera pas le plus remarquable. Un film accablant se déroule sous nos yeux, tant le jeu d’acteur n’est pas persuadant. Dans le rôle de Nénette, Balasko en fait des tonnes. Elle fait naitre un trouble qui ne s’estompera jamais.
Un film traditionnaliste qui baigne dans les clichés, et un scénario d’une platitude exaspérante. Pour le sourire, on repassera, tant on se lasse très rapidement, attendant une surprise qui n’arrivera jamais. Finalement, seul le générique de fin sera libérateur !
David BrejonEnvoyer un message au rédacteurBANDE ANNONCE